Le soleil guide ce labyrinthe de vie
La lumière éclaire le sentier sans ennui Une chaleur se fait sentir même la nuit Rien ne peut éteindre ce souffle béni Les grands bras de Morphée se glissent autour de toi Tes rêves d’enfant vivent, ton corps en émoi Au cœur de minuit, ta douillette fait abri À ton repos, la paix allongée dans ton lit Inspire, expire, oxygène dans tes poumons En feu, souffle coupé, râle, suffocation Tu t’assois dans tes draps, tu te sens étouffer L’éclat de soleil vacille, un froid se répand Dans ton corps, ta respiration mise en suspens Éternellement, ton âme t’est dérobée Véronique Girard
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RédacteurVéronique Girard Archives
Décembre 2021
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